Le Laboratoire est non seulement un milieu stimulant où les étudiants peuvent faire leurs premiers pas comme chercheurs, mais il reconnait aussi l’importance de soutenir leur formation académique. Son programme offre un éventail de bourses : bourses de recrutement ; bourses d’excellence à la maîtrise et au doctorat ; bourses de fin de rédaction ; bourses favorisant la participation étudiante à des rencontres scientifiques (affiche ou communication).
Lauréat de la bourse d’excellence de niveau maîtrise 2024-2025
Candidat à la maîtrise en histoire à l’UQAM sous la supervision de Joanne Burgess, directrice du Laboratoire, Thomas D’Amours est récipiendaire de la bourse d’excellence de niveau maîtrise. Son projet s’intitulant Tendances à vendre : la publicité de mode dans La Presse (1890-1915) s’articule autour de l’étude de plus de mille publicités du journal quotidien La Presse. Il vise ainsi à proposer une analyse du marché de la mode et de ses transformations à Montréal entre 1890 et 1915. Plus particulièrement, il s’intéresse au développement et à l’adoption de nouvelles stratégies et conventions publicitaires par les marchands, à une époque où la presse de masse prend son essor, et que de nouveaux outils de promotion, tels que les illustrations publicitaires, deviennent accessibles aux commerces. Son projet se penche également sur la présence et l’influence relative des commerces francophones dans un marché dominé par les grands magasins anglophones comme Hamilton, Henry Morgan’s et John Murphy’s.
Lauréate de la bourse d’excellence de niveau doctoral 2024-2025
Claudèle Richard, doctorante en études urbaines à l’UQAM sous la supervision de Dany Fougères, membre du bureau de direction et cochercheur au LHPM, a obtenu la bourse d’excellence de niveau doctorat. Sa thèse, intitulée L’axe ferroviaire LaSalle-Hochelaga comme acteur de l’occupation et de l’aménagement du territoire montréalais (1887-2023), a pour objectif d’analyser l’évolution de la relation entre l’axe ferroviaire LaSalle-Hochelaga, intégré au réseau transcontinental du Canadien Pacifique, et le milieu urbain qui l’entoure, de son inauguration en 1887 jusqu’en 2023. Cette voie ferrée sectionne une bonne partie de la ville (et de l’île) de Montréal en deux, traversant un tissu urbain dense et diversifié qui s’y est greffé au fil des ans et où sa présence crée aujourd’hui un sentiment d’enclavement. Sa recherche vise à déterminer comment cette voie ferrée participe au processus d’urbanisation de Montréal en insistant sur son influence sur le coefficient d’occupation du sol (COS) et les usages des bandes riveraines. Elle révèlera aussi comment se transforment les perceptions des différents acteurs urbains face au chemin de fer et ses impacts, contraintes et opportunités au fil du temps.
Lauréats des bourses d’excellence de niveau maîtrise 2023-2024
Candidat au doctorat en histoire à l’Université de Sherbrooke sous la direction de Benoît Grenier et Léon Robichaud, membre de la direction scientifique du Laboratoire, Thierry Simonet est récipiendaire de la bourse d’excellence du LHPM de niveau maîtrise. Son projet qui s’intitule Le Fond des Voyageurs comme symbole d’une société marchande de Montréal en pleine mutation s’intéresse à la société marchande montréalaise et à ses transformations. Ses recherches visent à mettre en exergue l’articulation sociale, économique et culturelle de cette société de secours, qui suscite la participation non seulement des négociants, des voyageurs et de leur famille, mais également du clergé, des notables et d’institutions comme l’Hôpital Général de Montréal. En portant son attention sur les humanités numériques, Thierry souhaite développer une application numérique sous la forme d’un système d’information géographique (SIG) pour analyser la mobilité des voyageurs et organiser les couches d’informations émanant des différentes sources étudiées.
Francis Bélanger, candidat à la maîtrise en histoire de l’art à l’UQAM, a quant à lui reçu la bourse de recrutement de niveau maîtrise du LHPM. Il s’intéresse dans le cadre de ses études aux liens entre l’art et le nationalisme. En liant ces deux éléments, il porte son attention sur l’histoire des métropoles modernes, dans laquelle il ancre l’histoire du développement de Montréal. L’architecture de son centre-ville est pour l’instant au cœur de ses intérêts de recherche.
Lauréate de la bourse d’excellence de niveau doctoral 2023-2024
Andréanne Martel, doctorante interuniversitaire en histoire de l’art à l’UQAM et en géographie à l’Université de Genève, a obtenu la bourse d’excellence du LHPM de niveau doctorat. Ses recherches, dirigées par Christina Contandriopoulos, cochercheuse au Laboratoire, ainsi que par Irène Hirt, portent sur le rôle de la cartographie et des paysages dans l’aménagement, la nationalisation et l’exploitation de la nature dans l’espace québécois et canadien. Sa thèse intitulée Intrications médiatiques et littoralisation du « Québec » et du « Canada » s’intéresse au rôle des images – des cartes et des paysages, de leur multiplication et de leur circulation au regard des pratiques sociales, géographiques et aménagistes pour saisir leur rôle dans la construction du littoral du fleuve Saint-Laurent. Elle cherche ainsi à mieux comprendre comment les cartes, les paysages, la littérature et l’architecture ont interagi au sein d’un même espace et comment des « intrications médiatiques » ont été porteuses de sens et ont fabriqué du pouvoir.
Lauréats des bourses d’excellence de niveau maîtrise 2022-2023
Candidat à la maîtrise en histoire à l’UQAM sous la direction de Joanne Burgess, directrice du Laboratoire, Francis Lapointe est récipiendaire de la bourse d’excellence du LHPM de niveau maîtrise. Son projet s’intitulant « The necessity of importing pianos to Canada, is gone forever » : Le commerce musical à Montréal, 1820-1851 s’intéresse à la première génération de commerçants et de fabricants spécialisés en musique à Montréal entre 1820 et 1851. Ses recherches visent à comprendre et à analyser dans quelles conditions le commerce musical à Montréal a émergé, de cerner quelles en étaient les caractéristiques principales et d’identifier ses acteurs ainsi que son fonctionnement. De cette manière, il souhaite proposer une nouvelle lecture de cette période plutôt méconnue et revoir l’interprétation dominante de l’historiographie canadienne, tout en permettant également d’inscrire Montréal dans une perspective connectée de l’émergence du commerce musical à l’échelle internationale. Mentionnons également que Francis s’est mérité la Bourse BAnQ de soutien à la recherche – niveau maîtrise au concours 2022-2023. Il est aussi le récipiendaire, ex æquo avec Dominik Ukolov de l’Université de Leipzig, du Frederick R. Selch Award 2022 qu’il a reçu dans le cadre de la rencontre annuelle de la American Musical Instrument Society (AMIS). Celle-ci s’est déroulée du 8 au 11 juin 2022 au Centre national de musique de Calgary, où il présentait, le 11 juin, une communication intitulée George Hooper Mead : One of Canada’s First Instrument Makers, 1827-1851.
Olivier Chiasson-Losier, candidat à la maîtrise en histoire à l’Université de Sherbrooke sous la direction de Léon Robichaud, membre de la direction scientifique du LHPM, a quant à lui reçu la bourse de recrutement de niveau maîtrise du Laboratoire. Son projet, La résolution des conflits à Montréal sous le régime français. Analyse spatiale du recours à la justice, vise à explorer le lien entre les conflits urbains et le rapport à l’espace parmi les habitants de Montréal au tournant du XVIIIe siècle grâce à l’étude de diverses archives judiciaires et à l’utilisation subséquente d’outils géomatiques. Son mémoire cherche ainsi à élargir les connaissances sur le rôle des institutions, notamment judiciaires, dans le développement urbain d’une ville en formation tandis qu’il s’intéressera plus particulièrement à l’appropriation de l’espace, défini par les autorités, par les habitants et au rôle des autorités judiciaires dans la résolution des conflits.
Lauréate de la bourse d’excellence de niveau doctoral 2022-2023
Sonia Blouin, doctorante en histoire à l’Université de Sherbrooke sous la supervision de Léon Robichaud, membre de la direction scientifique du LHPM, et de Louise Bienvenue (Université de Sherbrooke) a pour sa part obtenu la bourse d’excellence du LHPM de niveau doctorat. Sa thèse, intitulée La danse orientale au Québec de 1950 à 2020 : un exemple de transfert culturel, a pour objectif de mieux comprendre le processus de transfert culturel de cet art vivant sexualisé – car socialement associé au « féminin » – issu d’une communauté immigrante marginalisée et de saisir, en retour, comment la culture montréalaise a façonné celui-ci. Son projet, s’inscrivant dans la lignée des études en histoire culturelle, cherche à mieux comprendre les perceptions genrées et orientalistes empreintes dans la mémoire et les mentalités collectives ainsi que leur influence dans le processus de transfert culturel, c’est-à-dire la sélection des informations, des discours et de la représentation de la danse orientale au Québec depuis son introduction, dans les années 1950, jusqu’en 2020.
Lauréates des bourses d’excellence de niveau maîtrise 2021-2022
Candidate à la maîtrise à l’UQAM sous la direction de Martin Petitclerc, chercheur collaborateur au Laboratoire, Anne-Marie Dubreuil est récipiendaire de la bourse d’excellence du LHPM de niveau maîtrise. Son projet a pour titre L’intendance sociale du capital : philanthropie d’entreprise et hôpitaux généraux montréalais, 1880-1915. Ses recherches visent à sonder historiquement deux principaux phénomènes : d’abord, le développement institutionnel et social des services de santé, dont la prise en charge par les sphères d’activités privée et publique est disputée au cours du 20e siècle; ensuite, l’évolution de l’intervention philanthropique des entreprises dans la société, en tant qu’entités économiques qui s’attribuent progressivement des fonctions sociales, et les communautés au sein desquelles elles agissent.
Lauréate de la bourse d’excellence de niveau doctoral 2021-2022
Marie Pigelet, doctorante en histoire sous la direction de Joanne Burgess, directrice du Laboratoire, et de Julia Csergo (UQAM), a quant à elle reçu l’une des deux bourses d’excellence de niveau doctoral du LHPM. Son projet de thèse s’intitule Les livres de cuisine au Québec. L’essor d’un genre éditorial entre 1825 et 1930. Il se propose d’analyser l’évolution de la littérature culinaire domestique publiée entre 1825 et 1930 et destinée au public québécois.
Valéria Téllez Niemeyer, doctorante en histoire de l’art sous la direction de Christina Contandriopoulos (UQAM), a pour sa part obtenu la seconde bourse d’excellence de niveau doctoral remise par le LHPM. Son projet de thèse, Atmosphères électriques. Histoires et représentations de l’éclairage électrique à Montréal (1879-1935), propose d’explorer l’impact de la lumière électrique sur la ville sous le prisme des médias visuels.
Lauréates des bourses d’excellence de niveau maîtrise 2020-2021
Mélissa Benjamin, candidate à la maîtrise sous la codirection de Julia Poyet, cochercheure au LHPM, et de Gaétan Thériault (UQAM), souhaite mettre à l‘épreuve l’efficacité possible de l’utilisation des principes de base de la méthodologie historique dans une activité visant l’analyse critique de films de type péplum dans l’enseignement de l’Antiquité gréco-romaine au cégep. Son objectif principal est de construire un modèle théorique d’un dispositif didactique reposant sur l’enseignement-apprentissage de la pensée historique.
Claudèle Richard, candidate à la maîtrise à l’UQAM sous la direction de Dany Fougères, cochercheur au Laboratoire, s’intéresse à la gestion et l’incinération des matières résiduelles à Montréal entre 1880 et 1920. Elle se penche plus spécifiquement sur les défis découlant de la mise en place de services et d’infrastructures liés à la gestion des ordures, notamment en évaluant l’action normative des élus municipaux.
Lauréate de la bourse d’excellence de niveau doctoral 2020-2021
Marisha Pauzé est candidate au doctorat sous la direction de Joanne Burgess, directrice du LHPM. Son projet, intitulé «Transformation industrielle et consommation des produits animaliers au Québec (1870-1970)», vise à comprendre les effets de la transformation des modes de production et de subsistance résultant de l’industrialisation de la société québécoise sur la consommation des denrées alimentaires d’origine animale.
Lauréat de la bourse de recrutement de niveau maîtrise 2018
Joel Beauchamp-Monfette a complété son baccalauréat en histoire en 2018 et est présentement candidat à la maîtrise en histoire à l’Université du Québec à Montréal, sous la direction de Dany Fougères. Il s’intéresse à l’histoire spatiale et à l’histoire urbaine dans le Québec préindustriel. Dans le cadre de son mémoire, il souhaite étudier le démantèlement des fortifications de Montréal.
Lauréats des bourses de recrutement 2016-2017
Finissant au baccalauréat en histoire à l’Université de Sherbrooke (UdeS), Alexandre Leclerc entamera à l’automne une maîtrise sous la direction d’Harold Bérubé, professeur au Département d’histoire de l’UdeS. Intéressé par la désindustrialisation en milieu urbain, M. Leclerc compte étudier l’évolution des discours et des représentations du déclin économique à Montréal et à Trois-Rivières, entre 1967 et 1992.
Gabrielle Thériault est étudiante à la maîtrise avec cheminement en informatique appliqué à l’histoire et travaille sous la direction de Léon Robichaud, professeur au Département d’histoire de l’UdeS. Par ses travaux de recherche, elle vise à développer des stratégies de simplification de l’indexation des archives photographiques à l’aide de technologies numériques.
Lauréats des bourses de fin d’études 2016-2017
Simon Balloud achève une thèse réalisée sous la direction de Paul-André Linteau, professeur au Département d’histoire de l’UQAM et de Didier Poton de Xaintrailles de l’Université de La Rochelle. Ses recherches s’intéressent aux hommes d’Église français et à leur migration vers le Canada (1830-1914).
Josianne Dubé termine une maîtrise en études françaises avec un cheminement en littérature et histoire du livre et de l’édition à l’UdeS. Supervisée par Léon Robichaud et Josée Vincent, professeure au Département des lettres et communications, Josianne analyse, à l’aide d’un système d’information géographique, l’évolution spatiotemporelle d’un corpus de librairies agréées entre 1966 et 1985. Elle y superpose trois facteurs: les transformations de la Loi de l’accréditation des libraires, le développement du réseau des institutions subventionnées et les fluctuations démographiques.
Sous la direction de Joanne Burgess, professeure au Département d’histoire de l’UQAM, Maude Labonté complète son mémoire en histoire. Sa recherche s’interroge sur les transformations des pratiques alimentaires au Québec entre 1950 et 1970, notamment à l’introduction d’aliments, de mets et de recettes ethniques.
Lauréats des bourses d’excellence 2014-2015
Anna Demay de l’UQAM et Philippe Michon de l’Université de Sherbrooke se sont mérité les bourses d’excellence de 2000 $. Anna Demay étudie à la maîtrise en histoire sous la direction de Joanne Burgess et s’intéresse aux représentations de la gastronomie à la télévision de Radio-Canada, des années 1950 à 1970. Les aspects de diffusion de nouveaux aliments et de représentation d’un mode de vie urbain font résonner ses recherches avec les axes thématiques du Laboratoire.
Philippe Michon, étudiant à la maîtrise en informatique appliquée à l’histoire sous la direction de Léon Robichaud, travaille sur la sémantique des bases de données historiques et patrimoniales pour raffiner les outils de représentation de l’information sur les personnages politiques canadiens. Son sujet de recherche s’inscrit ainsi dans les préoccupations du Laboratoire quant à l’évolution des outils numériques à la disposition des historiens.
William Gaudry, dirigé à l’UQAM par Dany Fougères, a remporté la bourse d’excellence de 4000 $ remise à un étudiant au doctorat en histoire. Ses travaux portent sur l’histoire des mouvements d’annexion à Montréal, particulièrement sur le cas du village d’Hochelaga. Le projet de thèse s’arrime ainsi à l’axe thématique des lieux urbains en s’attardant aux processus qui ont tracé le destin de l’actuel quartier d’Hochelaga-Maisonneuve.
Lauréats des bourses de fin d’études 2013-2014
Christian Roy, étudiant au doctorat en histoire à l’UQAM s’est mérité la bourse grâce à un projet de recherche sur l’histoire de la communauté japonaise du Québec présente à Montréal, et sur les caractéristiques qui la distingue des autres communautés japonaises du Canada. Il travaille sous la direction de Paul-André Linteau et de Greg Robinson.
Mathieu Noël, étudiant au doctorat en histoire à l’UQAM, travaille sur l’histoire du quotidien Montréal-Matin (1930-1978) et ses liens avec le parti de l’Union Nationale. Sa recherche est menée sous la direction de Dominique Marquis et la codirection de Julien Goyette. Collaborateur du LHPM depuis 2008, il intègre à son sujet les axes de la vie urbaine, idéologique et politique de Montréal et le jury y a vu d’intéressantes résonances avec les axes d’intérêt du Laboratoire.
Lauréate de la bourse de recrutement 2013-2014
Christine Labrie, étudiante à la maîtrise (cheminement informatique appliquée à l’histoire) à l’Université de Sherbrooke, a obtenu la bourse de recrutement du LHPM d’une valeur de 1000$. Les membres du jury ont souligné la qualité du dossier académique de Mme Labrie ainsi que ses expériences de recherche et de stage qui témoignent d’une sensibilité à l’égard des enjeux de la diffusion des résultats de recherche en milieu de pratique.
Lauréats des bourses de recrutement 2012-2013
À la suite de l’appel de candidatures lancé à l’automne 2012, une bourse de recrutement a été accordée à Michel Morissette, étudiant à la maîtrise en histoire, cheminement informatique appliquée à l’histoire, de l’Université de Sherbrooke. Le candidat a été retenu en raison de l’excellence de son dossier de candidature, de la pertinence de son projet de recherche et de son intérêt démontré pour la vulgarisation historique.
La bourse a été remise le 22 novembre 2012 lors de la Journée annuelle du Laboratoire en présence des membres et des partenaires de l’équipe.
Lauréats des bourses de stages et de recrutement 2011-2012
Le LHPM remet, pour une première année, deux bourses à des étudiants inscrits dans le programme de Maîtrise en histoire appliquée de l’UQAM. Ces bourses visent à offrir un soutien financier aux étudiants inscrits dans les programmes de Maîtrise en histoire (profil histoire appliquée) de l’UQAM et de la Maîtrise en histoire (cheminement en informatique appliquée à l’histoire) de l’Université de Sherbrooke.
Une cérémonie de remise de bourse a eut lieu le 9 février, à laquelle tous les membres du Laboratoire étaient conviés. Les lauréats ont été retenus en raison de l’excellence de leur dossier de candidature et de leur parcours académique.
Le 17 mai 2012, une seconde bourse de stage a été remise lors de la Journée annuelle du Laboratoire, en présence des membres et des partenaires du Laboratoire.
Lauréate de la bourse de recrutement
Andréa Shaulis, étudiante à la Maîtrise en histoire (profil histoire appliquée) de l’UQAM.
Lauréats des bourses de stage
Louis-Pierre Gosselin, étudiant à la maîtrise en histoire, cheminement informatique appliquée à l’histoire, de l’Université de Sherbrooke. Louis-Pierre Gosselin a effectué un stage à Parcs Canada, Centre de services du Québec, dans le cadre de ses études.
Étienne Martel, étudiant à la Maîtrise en histoire (profil histoire appliquée de l’UQAM) et stagiaire à la Société du Vieux-Port. Pendant ce stage, Étienne Martel a contribué à la recherche sur l’histoire du port et à l’élaboration de programmes d’animation à l’intention de groupes scolaires.