Les projets de recherche du Laboratoire donnent lieu à de nombreux articles scientifiques, ouvrages de référence, monographies et à des publications issues de colloques organisés par l’équipe. Cette riche production assure la diffusion des connaissances, l’un des principaux objectifs du Laboratoire.
Dernière publication

Le 26 mars 2024 est paru le livre « La Révolution tranquille entre l’ici et l’ailleurs » sous la direction de Jean-Philippe Carlos, membre diplômé du LHPM, et de Stéphane Savard. L’ouvrage, regroupant une quinzaine de spécialistes issus de diverses disciplines, vise à recontextualiser les grandes transformations de la Révolution tranquille dans une optique internationale. La Révolution tranquille est bien souvent présentée comme une expérience propre au Québec et unique au monde. Pourtant, les grandes transformations qu’a connues la nation québécoise depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale s’inscrivent dans des courants occidentaux plus vastes associés à la modernité et aux transformations des valeurs. Les communautés acadiennes, les francophonies minoritaires au Canada, la société canadienne-anglaise ainsi que plusieurs autres nations occidentales connaissent elles aussi de profondes mutations qui, même si elles ne revêtent pas toujours le caractère nationaliste du cas québécois, en viennent à restructurer les fondements de la vie en collectivité. En adoptant un point de vue national et international, les auteurs analysent les enjeux politiques des révolutions tranquilles et leurs effets sur la société.
Publications

Le 26 mars 2024 est paru le livre « La Révolution tranquille entre l’ici et l’ailleurs » sous la direction de Jean-Philippe Carlos, membre diplômé du LHPM, et de Stéphane Savard. L’ouvrage, regroupant une quinzaine de spécialistes issus de diverses disciplines, vise à recontextualiser les grandes transformations de la Révolution tranquille dans une optique internationale. La Révolution tranquille est bien souvent présentée comme une expérience propre au Québec et unique au monde. Pourtant, les grandes transformations qu'a connues la nation québécoise depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale s'inscrivent dans des courants occidentaux plus vastes associés à la modernité et aux transformations des valeurs. Les communautés acadiennes, les francophonies minoritaires au Canada, la société canadienne-anglaise ainsi que plusieurs autres nations occidentales connaissent elles aussi de profondes mutations qui, même si elles ne revêtent pas toujours le caractère nationaliste du cas québécois, en viennent à restructurer les fondements de la vie en collectivité. En adoptant un point de vue national et international, les auteurs analysent les enjeux politiques des révolutions tranquilles et leurs effets sur la société.

Écrire la ville est une anthologie d’articles et de chapitres d’ouvrages collectifs publiés par les membres du Groupe d’histoire de Montréal. Au fil du temps, le Groupe a consacré une partie de ses ressources à la traduction de textes, initialement parus en anglais, afin de les rendre accessibles au lectorat francophone. Réunies pour la première fois sous forme d’ouvrage, ces traductions offrent un aperçu des thématiques de recherche et des débats historiographiques qui ont animé le Groupe depuis une vingtaine d’années. Le livre est accessible gratuitement en format numérique.

En octobre 2023 est paru le livre François-Albert Angers : Le Rebelle traditionaliste, rédigé par Jean-Philippe Carlos, membre diplômé du LHPM. L’ouvrage retrace la trajectoire intellectuelle du militant nationaliste François-Albert Angers et sa résistance au souffle progressiste de la Révolution tranquille. Animateur influent des réseaux intellectuels entre les années 1930 et 1980, militant dynamique associé au mouvement nationaliste et indépendantiste, et expert économique proche des milieux politiques, François-Albert Angers (1909-2003) a marqué la vie des idées au Québec. Sa contribution est néanmoins méconnue du grand public. Figure associée au traditionalisme canadien-français, Angers a su résister au souffle progressiste de la Révolution tranquille en présentant un contre-discours valorisant à la fois la culture traditionnelle canadienne-française catholique, mais aussi l’indépendance nationale du Québec. En se penchant sur le parcours étonnant de cet universitaire francophone, adepte du conservatisme fiscal et ferme tenant de la Doctrine sociale de l’Église, cette biographie permet de relativiser le récit dominant de l’histoire des idées québécoises au XXe siècle, encore très ancré dans la notion de table rase. Car malgré tout ce qui a été écrit sur le sujet dans les dernières décennies, le Canada français continue, d’une certaine manière, à exister culturellement dans l’esprit de plusieurs intellectuels, et ce, bien après la Révolution tranquille.

En septembre 2022 est paru Tensions dans l’enseignement de l’histoire nationale et des sciences sociales. Vues québécoises et internationales, publié aux Éditions du Septentrion et dirigé par Marie-Claude Larouche, cochercheuse au LHPM et professeure au Département des sciences de l’éducation de l’Université du Québec à Trois-Rivières, Félix Bouvier et Pierre-Luc Fillion. Dans le creuset des nations, de nombreuses questions aux incidences territoriales, politiques, identitaires et culturelles agitent les communautés minoritaires et majoritaires. Comment ces tensions façonnent-elles l’enseignement des sciences sociales, en particulier l’histoire, dans différents contextes nationaux? Cet ouvrage offre un panorama impressionniste de ces questions à la lumière des réflexions et des interrogations soulevées par des chercheuses et chercheurs de différents pays. Tour à tour sont abordés des exemples de tensions qui modèlent ces réalités dans les contextes nationaux du Québec, du Canada, de l’Argentine, de la France, de la Grèce et du Portugal.

Le 26 avril 2022 est paru Histoire des villes nord-américaines, publié par Harold Bérubé, professeur au Département d’histoire de l’Université de Sherbrooke et chercheur collaborateur au LHPM. Comme l’expose ce livre, depuis le milieu du XIXe siècle, les métropoles nord-américaines s’imposent comme l’incarnation d’une modernité urbaine triomphante. De Montréal à La Nouvelle-Orléans se développent des transports en commun donnant naissance à des quartiers bourgeois prestigieux, mais aussi à des quartiers chauds. De Toronto à New York, experts, architectes et politiciens tentent de faire sens du chaos urbain pour enrichir la ville et la sauver d’elle-même. De Vancouver à Chicago, parcs, boulevards et gratte-ciel sont construits et aménagés pour célébrer la grandeur des cités. Et dans l’ombre de chacune d’entre elles, il y a ceux et celles qui luttent contre les inégalités qui s’y accentuent et y persistent.

Entre les années 1950 et 1970, les centres-villes nord-américains ont été reconfigurés en fonction de la banlieusardisation. Dans The Heart of Toronto, Daniel Ross, professeur au Département d’histoire de l’UQAM et chercheur collaborateur au LHPM, retrace l’histoire de l’une de ces réinventions, soit celle de la rue Yonge. Cette dernière fut, pendant de nombreuses décennies, la principale artère commerciale de Toronto et un symbole de prospérité métropolitaine. À travers les histoires de développement, d’engagement civique et l’influence des entreprises, cet ouvrage améliore notre compréhension des acteurs et des rapports de pouvoir impliqués dans la transformation du centre-ville de la plus grande ville du Canada – un processus d’ailleurs loin d’être terminé.

Le 8 février 2022 est parue une édition revue et augmentée de l’ouvrage Une histoire de Montréal, signée par Paul-André Linteau, codirecteur du LHPM. Ville portuaire, centre industriel et métropole de services, Montréal est un carrefour où circulent non seulement des personnes et des marchandises mais aussi des idées, des cultures et des influences multiples. Cette synthèse, mise à jour pour tenir compte des dernières avancées de la recherche, embrasse les dimensions démographiques, économiques, spatiales, sociales, culturelles et politiques de l’histoire de Montréal pour en dresser le portrait le plus complet possible.

Honnie par certains radicaux et progressistes, pierre de touche rassurante pour la plupart des conservateurs, la famille a toujours été à la fois une institution et une idée. Souvent source de soutien émotionnel et matériel, la famille peut aussi être le théâtre de conflits et d’abus. Ce livre retrace l’évolution des formes et des significations de la famille sur le territoire qui constitue aujourd’hui le Canada, depuis les premiers contacts entre les peuples autochtones et les explorateurs, commerçants, missionnaires et colons français dans le nord-est de l’Amérique du Nord aux XVIe et XVIIe siècles, jusqu’à aujourd’hui. Of Kith and Kin s’appuie sur la riche historiographie de la famille au Canada et ailleurs pour donner un aperçu des changements nombreux, et parfois radicaux, dans la composition et la signification de la famille au cours des cinq derniers siècles.
Toute histoire comprend des histoires de famille ; inversement, les familles nous fournissent une lunette fascinante à travers laquelle nous pouvons voir et comprendre les choix collectifs faits par l’État et par la société civile.

Qui s’en souvient, aujourd’hui ? Et pourtant ! Montréal, de 1844 à 1849, fut bel et bien la capitale du Canada, ou, plus justement, de la « province du Canada », ainsi qu’en avait décidé le gouvernement britannique pour sa colonie. Le Parlement siège dans un imposant bâtiment érigé en 1834 sur l’actuelle place D’Youville, qui abritait autrefois le marché Sainte-Anne. Le 25 avril 1849, des émeutiers incendient l’édifice… Ses vies successives ont été ramenées à la mémoire grâce à des fouilles archéologiques menées entre 2010 et 2017 par Pointe-à-Callière. Cet ouvrage invite le public à revivre un pan méconnu de l’histoire de Montréal, du Québec et du Canada dans le récit surprenant, mouvementé, inédit, que signent des historiens et des archéologues passionnés.

Cette publication rassemble les contributions présentées dans le cadre des Journées d’échange Paysages du mouvement/Paysages en mouvement, organisées par le LHPM, le Centre interuniversitaire d’études québécoises (CIEQ), l’Association québécoise du patrimoine industriel (AQPI) et la Fédération Histoire Québec (FHQ), organisme partenaire du Laboratoire. Afin de pérenniser les échanges et poursuivre la réflexion, les conférenciers ont été invités à approfondir leurs recherches et à les réunir dans cet ouvrage, publié aux Éditions Histoire Québec et dirigé par Alain Roy et Alain Gelly, cochercheurs au LHPM, ainsi que Maude-Emmanuelle Lambert et Richard M. Bégin. Leurs contributions, qu’il s’agisse d’études de cas ou de bilans, proposent une diversité d’approches méthodologiques pertinentes, inspirantes et éprouvées pour aborder et caractériser les paysages culturels et patrimoniaux des chemins anciens et des voies d’eau historiques.

L’Histoire du Canada de Paul-André Linteau, codirecteur du Laboratoire d’histoire et de patrimoine de Montréal et professeur au Département d’histoire de l’UQAM, est édité pour une sixième fois par les Presses Universitaires de France dans la collection «Que sais-je?». Ce livre se veut une brève synthèse de l’histoire du Canada. Paul-André Linteau est reconnu pour ses ouvrages de synthèse majeurs tels que Histoire du Québec contemporain en deux volumes (2e éd. 1989), qu’il a co-écrit avec René Durocher, Jean-Claude Robert et François Ricard, ou Histoire de Montréal depuis la Confédération (2e éd. 2000).
Résumé selon «Que sais-je?»
De l’époque des premiers habitants de l’Amérique du Nord jusqu’à nos jours, cet ouvrage retrace l’histoire du deuxième plus grand pays au monde. Il offre ainsi au lecteur un éclairage essentiel à la compréhension du Canada d’aujourd’hui en mettant notamment en perspective le caractère distinct du Québec et les débats constitutionnels qu’il a provoqués, les revendications autonomistes des Autochtones ou encore l’intégration économique du Canada dans l’ensemble nord-américain.

L’histoire et les études patrimoniales ont pendant longtemps évolué en parallèle. Mais, depuis quelques années, les collaborations et les échanges se sont accrus. C’est ce dont témoigne cet ouvrage dans lequel la relation entre histoire et patrimoine est explorée sous divers angles. On y met en lumière les apports originaux de travaux récents et on y esquisse des pistes de recherche. En outre, l’appropriation et la diffusion des résultats et les enjeux de la mise en valeur reçoivent une attention particulière.
Ce livre est aussi l’occasion de souligner la contribution majeure du Laboratoire d’histoire et de patrimoine de Montréal. Plusieurs articles illustrent l’apport de ses membres et partenaires à ce rapprochement entre histoire et patrimoine.

Les municipalités représentent la forme de gouvernement la plus proche des gens, et leur rôle a énormément changé en cent ans. Plus que de simples administrateurs de routes et d’aqueducs, les villes doivent aujourd’hui traiter de questions complexes comme le vieillissement de la population, la mobilité et le patrimoine culturel.
Dès sa création, le 15 décembre 1919, l’UMQ est une association laïque et libérale dont la mission est de réunir l’ensemble des municipalités de la province, d’y diffuser pratiques et savoirs liés à la gouvernance locale et, surtout, d’obtenir un rapport de force avec le gouvernement québécois. L’Union essaie de remplir sa mission malgré les soubresauts de l’histoire, les changements de gouvernement ou la construction puis le déclin de l’État-providence.

Iῆaki Arrieta Urtizberea, professeur au Département de Philosophie des Valeurs et d’Anthropologie Sociale de l’Université du Pays Basque et membre du Laboratoire, dirige la publication annuelle des actes du congrès OIASSO. Ces livres multilingues regroupent des articles d’auteurs européens et américains, dont des contributeurs québécois et canadiens, et portent sur le patrimoine culturel et les musées. L’édition 2018, El patrimonio cultural en las sociedades líquidas, réunit des universitaires, des professionnels des musées et des gestionnaires de la culture qui portent un regard sur la question des patrimoines liquides à travers une exploration de trois éléments fondamentaux de la société contemporaine : le multiculturalisme ou interculturalisme, la multiplicité des sujets et l’obsolescence rapide des objets, et l’accélération du temps.

Dany Fougères, professeur au Département d’histoire de l’UQAM et membre du bureau de direction du LHPM, codirige cette publication d’envergure avec Roderick MacLeod.

Iῆaki Arrieta Urtizberea, professeur au Département de Philosophie des Valeurs et d’Anthropologie Sociale de l’Université du Pays Basque et membre du Laboratoire, dirige la publication annuelle des actes du congrès OIASSO. Ces livres multilingues regroupent des articles d’auteurs européens et américains, dont des contributeurs québécois et canadiens, et portent sur le patrimoine culturel et les musées. L’édition 2017, El género en el patrimonio cultural réunit des universitaires, des professionnels des musées et des gestionnaires de la culture qui portent un regard sur les enjeux et conséquences de la présence androcentrique dans la mise en valeur du patrimoine. Ses auteurs font état des différentes actions mises en œuvre dans les domaines muséal et patrimonial vers une meilleure représentation des genres.

Publié en octobre 2017, Pouvoir et territoire au Québec depuis 1850 rassemble des contributions de chercheurs de différents horizons disciplinaires sur les interactions entre le politique et les différentes facettes et échelles du territoire québécois. L’ouvrage est co-dirigé par Harold Bérubé et Stéphane Savard, avec la collaboration de Benoît Grenier et Michel Morissette. Le premier, qui est membre du LHPM, y signe d’ailleurs un chapitre sur les rapports entre le gouvernement municipal et la modernisation de l’espace urbain entre 1855 et 1939. L’ouvrage fait suite à une journée d’étude organisée à Sherbrooke en novembre 2016, avec l’appui du Laboratoire.

Cet ouvrage, coécrit par Justin Bur, Yves Desjardins, Jean-Claude Robert, Bernard Vallée et Joshua Wolfe, convie les lecteurs à un voyage dans le temps pour découvrir la riche histoire du Plateau Mont-Royal. Le Laboratoire d’histoire et de patrimoine de Montréal tient à souligner le travail effectué par les auteurs de ce magnifique ouvrage, dont quatre sont liés Laboratoire. Jean-Claude Robert, professeur émérite au Département d’histoire de l’UQAM, est un chercheur collaborateur du Laboratoire alors que Justin Bur et Yves Desjardins sont membres du conseil d’administration de l’organisme partenaire Mémoire du Mile End. Bernard Vallée, animateur en patrimoine à Montréal Explorations, fut associé au LHPM de 2006 à 2009.

Le 9 mai 2017, l’ouvrage Une histoire de Montréal de Paul-André Linteau, codirecteur du Laboratoire d’histoire et de patrimoine de Montréal, a été publié aux Éditions du Boréal. Cette synthèse intègre les recherches les plus récentes pour expliquer les grands phénomènes et les tendances générales qui ont façonné Montréal et son histoire.

Le livre est le fruit d’une collaboration étroite entre trois historiens de renom : Françoise Le Jeune, professeure d’histoire de la Grande-Bretagne et du Canada à l’Université de Nantes en France, Yves Frenette, professeur et titulaire de la Chaire de recherche du Canada sur les migrations, les transferts et les communautés francophones à l’Université de Saint-Boniface de Winnipeg, et Paul-André Linteau, codirecteur du Laboratoire et professeur d’histoire à l’UQAM. Cette publication est inspirée d’un colloque sur les immigrants français tenu à Nantes en 2011. Les échanges entre les participants révélaient alors que des volets entiers de l’histoire de l’immigration française au Canada demeuraient encore inexplorés. Ce livre découle de ce constat et intègre, à la fois des résultats de travaux antérieurs et les nouvelles recherches réalisées par les auteurs.

Dirigé par Marie-Claude Larouche, membre du Laboratoire et professeure au Département des sciences de l’éducation de l’UQTR, Joanne Burgess, directrice du Laboratoire et professeure au Département d’histoire de l’UQAM, et Nicolas Beaudry, professeur au Département des lettres et humanités et responsable du projet PATER de l’UQAR, ce livre rassemble les expériences et les réflexions d’enseignants et de chercheurs sur l’exploitation des ressources patrimoniales en enseignement.

Iῆaki Arrieta Urtizberea, professeur au Département de Philosophie des Valeurs et d’Anthropologie Sociale de l’Université du Pays Basque et membre du Laboratoire, dirige la publication annuelle des actes du congrès OIASSO. Ces livres multilingues regroupent des articles d’auteurs européens et américains, dont des contributeurs québécois et canadiens, et portent sur le patrimoine culturel et les musées. L’édition 2016, Lugares de memoria traumática/ Muséalisation des mémoires : patrimonialisation et représentation des conflits, propose de parcourir des musées et des sites patrimoniaux d’Europe et d’Amérique dans lesquels la mémoire traumatique est présentée. À travers ces différents lieux, l’ouvrage explore les façons d’aborder et de représenter des thèmes complexes, mais fondamentaux pour la mémoire collective actuelle, comme les conflits armés, les guerres et les dictatures au XXe siècle.

Cet ouvrage collectif, réalisé sous la direction de Joanne Burgess, Cynthia Cooper, Céline Widmer et Natascha Zwarich, est le fruit des présentations qui ont eu lieu du 7 au 9 novembre 2013. Organisé par le Partenariat Montréal, plaque tournante des échanges et le Musée McCord, le colloque a permis de présenter les résultats de recherches récentes témoignant d’utilisations novatrices des collections du Musée McCord, collections qui constituent une source exceptionnelle d’archives et d’artéfacts pour la recherche historique.

Le livre Scandale! Le Montréal illicite, 1940-1960, paru le 9 novembre 2016 aux Éditions Cardinal, a été écrit par Catherine Charlebois, muséologue au Centre d’histoire de Montréal (CHM) et membre du Laboratoire, et Mathieu Lapointe, historien et chercheur en résidence au Centre de recherches interdisciplinaires en études montréalaises (CRIEM) de l’Université McGill. L’ouvrage présente les dessous de la métropole québécoise à une époque à laquelle les cabarets et le jazz forment l’avant-scène d’un Red Light où les jeux illégaux, la prostitution et la contrebande battent leur plein. En mars 2017, le livre a remporté le premier prix de la catégorie «Pictorial/Beaux livres» de la 35e édition des Alcuin Awards qui récompensent l’excellence dans le design du livre au Canada. Cette reconnaissance qualifie le livre Scandale pour le Stiftung Buchkunst à Leipzig, le concours des plus beaux livres du monde. Une récompense bien méritée pour ce magnifique ouvrage truffé d’images et de témoignages! Cette publication donne suite à l’exposition Scandale! Vice, crime et moralité à Montréal, 1940-1960 présentée au CHM du 15 novembre 2013 au 30 décembre 2016. Le Laboratoire a notamment contribué au chantier de recherche qui a précédé l’exposition.
Description de l’ouvrage selon les Éditions du Cardinal :
Alors que la Deuxième Guerre mondiale fait rage de l’autre côté de l’Atlantique, le jazz et le cabaret font vibrer la rue Sainte-Catherine. Située entre Las Vegas et Paris, la métropole québécoise reçoit les plus grands artistes de la scène : Édith Piaf, Franck Sinatra, Louis Armstrong, Alys Robi, Charles Trenet, Charlie Parker, Oscar Peterson et plusieurs autres. Mais derrière les rideaux des salles de spectacle, dans le labyrinthe des allées du Red Light, se trament de sombres desseins : jeu illégal, prostitution, contrebande. S’entame alors une lutte sans merci entre le crime organisé et les forces incorruptibles, menée par le jeune avocat Pacifique « Pax » Plante et son escouade de la moralité. À partir des photographies réunies par le Centre d’histoire de Montréal, des témoignages et des portraits éclatants d’authenticité, Scandale! fait la lumière sur ce moment extraordinaire de l’histoire de Montréal et sur les personnages qui ont forgé son identité.

L’Histoire du Canada de Paul-André Linteau, codirecteur du Laboratoire d’histoire et de patrimoine de Montréal et professeur au Département d’histoire de l’UQAM, est édité pour une sixième fois par les Presses Universitaires de France dans la collection «Que sais-je?». Ce livre se veut une brève synthèse de l’histoire du Canada. Paul-André Linteau est reconnu pour ses ouvrages de synthèse majeurs tels que Histoire du Québec contemporain en deux volumes (2e éd. 1989), qu’il a co-écrit avec René Durocher, Jean-Claude Robert et François Ricard, ou Histoire de Montréal depuis la Confédération (2e éd. 2000).
Résumé selon «Que sais-je?»
De l’époque des premiers habitants de l’Amérique du Nord jusqu’à nos jours, cet ouvrage retrace l’histoire du deuxième plus grand pays au monde. Il offre ainsi au lecteur un éclairage essentiel à la compréhension du Canada d’aujourd’hui en mettant notamment en perspective le caractère distinct du Québec et les débats constitutionnels qu’il a provoqués, les revendications autonomistes des Amérindiens ou encore l’intégration économique du Canada dans l’ensemble nord-américain.



La conservation des biens culturels a été au centre de l’activité des musées depuis ses origines. Dans ce contexte, la fonction des différents publics qui visitaient les musées n’était nullement significative. Mais au cours du XXe siècle, le rôle passif des publics, des visiteurs, des usagers et des communautés locales change de manière fondamentale, à mesure que la démocratisation de la culture et la démocratie culturelle prennent place au sein de nos sociétés. Ce changement entraîne deux nouveautés dans les activités muséales. Dans un premier temps, les musées s’intéressent à tous ceux qui les visitent ou en font usage. Ensuite, les usagers et les communautés locales et muséales souhaitent participer activement dans les activités des musées, voire dans leur définition.
C’est ainsi que le lecteur approchant cet ouvrage trouvera, d’un côté, différents niveaux d’étude et d’analyse concernant les publics des musées et des communautés locales ayant un lien avec eux. D’un autre côté, il découvrira les différentes positions que l’on peut trouver dans la société à l’égard des musées. Cet ouvrage inclut des articles en espagnol et en français. (Traduction du résumé espagnol de l’éditeur).

Les mouvements de fusion et défusion qui ont eu lieu de 2002 à 2006 sont à l’origine de certains bouleversements de la communauté urbaine de Montréal. La séparation de certaines municipalités de la ville centre accentue leur image de secteurs fortement différenciés, soit à cause de leur identité linguistique soit à cause de particularités économiques.
Dans la foulée de récents travaux sur la gouvernance montréalaise, Harold Bérubé s’intéresse à trois de ces « sociétés distinctes » – Westmount, Pointe-Claire et Ville de Mont-Royal – de la fin du XIXe siècle jusqu’au début de la Seconde Guerre mondiale. Il s’attarde à démontrer comment ces trois secteurs, qui se réclament d’une culture suburbaine et bourgeoise, ont développé des modes de gouvernance spécifique à leur société et distinctes du développement métropolitain du reste de l’île de Montréal.

Publié dans la collection des Cahiers de l’Institut du patrimoine de l’UQAM, dirigée par Joanne Burgess, l’ouvrage collectif est réalisé sous la direction de Léon Robichaud, Harold Bérubé et Donald Fyson. Les travaux des différents auteurs se penchent sur l’évolution de la ville de Montréal et sur les cadres de l’administration urbaine montréalaise, de la Nouvelle-France au XXe siècle. La réflexion suscitée dépasse ainsi l’actualité des dernières années sur les ratés de l’administration municipale et amène le lecteur vers une vision plus large des enjeux auxquels les administrateurs de Montréal ont été confrontés.

Sous la direction de Guy Berthiaume, Claude Corbo et Sophie Montreuil, l’ouvrage Histoires d’immigrations au Québec relate l’expérience de l’arrivée au Québec de membres de 14 communautés culturelles qui font aujourd’hui partie intégrante du tissu social québécois. Des Irlandais aux Maghrébins en passant par les Italiens et les Vietnamiens, les récits historiques préparés par des historiens sont accompagnés des témoignages des représentants de chaque communauté. Implication citoyenne, géographie et urbanisme sont conjugués dans cet ouvrage richement illustré d’images provenant des collections de Bibliothèque et Archives nationales du Québec.

Nouvelle parution de Marie-Claude Larouche, professeur au Département des sciences de l’éducation de l’Université du Québec à Trois-Rivières et membre du Laboratoire d’histoire et de patrimoine de Montréal. Auteure de nombreux ouvrages et articles spécialisés, madame Larouche codirige avec Anderson Araújo-Oliveira, professeur au Département de didactique de l’UQAM, une publication portant sur l’enseignement des sciences humaines et l’école québécoise.

Une nouvelle édition de l’ouvrage Histoire du Canada de Paul-André Linteau, professeur au département d’histoire de l’UQAM et codirecteur du Laboratoire d’histoire et de patrimoine de Montréal. Il s’agit de la cinquième édition dans la collection «Que sais-je?» pour ce livre qui se veut une brève synthèse de l’histoire du Canada. Paul-André Linteau est d’ailleurs reconnu pour ses ouvrages de synthèse majeurs tels que son Histoire générale du Canada coécrite avec Craig Brown et paru en 1990.
Résumé de l’ouvrage selon Que sais-je…
De l’époque des premiers habitants de l’Amérique du Nord jusqu’à nos jours, cet ouvrage retrace l’histoire du deuxième plus grand pays au monde. Il offre ainsi au lecteur un éclairage essentiel à la compréhension du Canada d’aujourd’hui en mettant notamment en perspective le caractère distinct du Québec et les débats constitutionnels qu’il a provoqués, les revendications autonomistes des Amérindiens ou encore l’intégration économique du Canada dans l’ensemble nord-américain.


Les espaces socioculturels, tels que les musées, se voient aujourd’hui altérés par les sociétés postmodernes et le système capitaliste prédominant. La demande en spectacles et en divertissements instantanés viennent modifier considérablement les pratiques muséales. Les institutions culturelles sont donc dans une importante période d’adaptation. Cette publication explorent et analysent quelques initiatives récentes. Le directeur de cet ouvrage, Iñaki Arrieta Urtizberea, est professeur à l’Universidad del País Vasco et compte parmi les collaborateurs du Laboratoire d’histoire et de patrimoine de Montréal.

Cet ouvrage est une traduction d’un premier livre paru en français en 1992, alors que Montréal approchait de son 350e anniversaire. À l’approche de ses 375 ans, Montréal a désormais son histoire racontée en anglais allant de l’époque des Iroquois jusqu’aux manifestions étudiantes du printemps 2012. Soulevant les facteurs économiques, politiques, sociaux et culturels, l’auteur expose les différentes facettes du développement de cette ville étant passée d’une petite communauté de missionnaires à une mégapole cosmopolite.

Le tourisme et le patrimoine culturel constituent deux systèmes en interaction. Cette publication présente des articles examinant cette interrelation qui s’est intensifiée au cours des dernières années, favorisée par la mondialisation et l’hypothèse selon laquelle le patrimoine touristique est synonyme de développement. Iñaki Arrieta Urtizberea est professeur à l’Universidad del País Vasco et compte parmi les collaborateurs du Laboratoire d’histoire et de patrimoine de Montréal.



Singuliers dans le paysage des organisations de défense des droits des travailleuses et travailleurs, les syndicats enseignants ont connu une évolution marquée autant par la continuité, la rupture et le paradoxe. De la création de l’Association catholique des institutrices rurales en 1936 par Laure Gaudreault jusqu’à nos jours, ce livre rappelle le rôle joué par l’Église dans ce mouvement syndical, ainsi que l’influence des mentalités et des courants sociaux et politiques. Ce parcours nous fait découvrir les grandes étapes du syndicalisme enseignant ainsi que les luttes et les gains sociaux qui en ont résulté. Les congés de maternité, le cheminement vers la parité salariale entre les hommes et les femmes, et la laïcisation des organisations y sont notamment abordés. Cette histoire syndicale est intimement liée à celle du Québec : des personnages importants et des événements significatifs de notre histoire nationale sont présentés au fil des pages.
Des photographies historiques et des documents d’archives variés illustrent autant les congrès et les manifestations que les lois qui ont eu de fortes répercussions sur le monde du travail et de l’éducation. La réalité des écoles urbaines et rurales est aussi évoquée à travers des images d’époque. Des extraits d’expériences vécues par des enseignantes et enseignants retraités apportent un regard personnel sur l’histoire du syndicalisme enseignant.
Source : Presses de l’Université du Québec

Cet ouvrage retrace, à l’aide d’une riche iconographie, la passionnante histoire de celle qu’on appelle encore la «grande dame» de Montréal. Des tout débuts avec le promoteur William Zeckendorf jusqu’aux transformations subséquentes, c’est tout un pan de notre patrimoine architectural qui nous est dévoilé. L’architecte de la Place Ville Marie a entre autres réalisé la Pyramide du Louvre à Paris.
Extrait de l’introduction :
Inspiré par la ténacité de ces entrepreneurs, nous souhaitons que cette première monographie de Place Ville Marie permette aux lecteurs de mieux comprendre les différents enjeux qui ont marqué sa planification, sa réalisation, son évolution depuis près de 50 ans et l’importance qu’occupe cet ensemble dans le paysage de Montréal.



- LINTEAU, Paul-André, « L’histoire et l’archéologie au service de la compréhension du patrimoine montréalais », p. 11-12.
- BURGESS, Joanne, « L’histoire du Vieux-Montréal : bilaln et perspectives de recherches », p. 13-31.
- ROBERT, Jean-Claude, « L’histoire de Montréal et l’histoire à Montréal : quelques réflexions », p. 47-59.
- DROUIN, Martin, « Parcourir le Vieux-Montréal : offre touristique et interprétation du patrimoine », p. 79-92.
- POITRAS, Claire, « Réinvestir dans l’histoire. Trente ans de promotion immobilière dasn l’arrondissement historique de Motnréal », p. 93-105.
- BURGESS, Joanne, « La thématisation des quartiers et le patrimoine », p. 109-110.
Le Vieux-Montréal est depuis longtemps un espace connu et reconnu, aussi bien pour les Montréalais que pour les visiteurs de l’extérieur. Faudrait-il en changer l’identité ? Que penser du projet de créer, à Montréal, un Quartier de l’histoire ? Pourquoi faudrait-il thématiser le Vieux-Montréal ? N’est-il pas déjà un lieu habité par l’histoire ? Quel serait l’apport ou l’intérêt d’une nouvelle signature territoriale, d’un nouveau branding ? Serait-ce une réponse pertinente à un besoin urgent d’élargir les cadres de référence et d’interprétation du lieu ? La thématisation du Vieux-Montréal serait-elle une stratégie pour assurer la poursuite de son développement, pour amorcer une nouvelle phase de sa valorisation, en procédant simultanément à un nouveau découpage territorial et à l’imposition d’une nouvelle signature ?
Le sort du Vieux-Montréal et le concept de Quartier de l’histoire soulèvent de nombreuses interrogations qui ont conduit l’Institut du patrimoine de l’UQAM et le Laboratoire d’histoire et de patrimoine de Montréal à organiser une journée d’étude sur ce sujet, le 25 avril 2008. Des chercheurs de plusieurs disciplines, spécialistes de l’histoire, de l’archéologie, de l’aménagement, de la culture et du patrimoine montréalais, y étaient invités à réfléchir ensemble sur l’opportunité et les enjeux d’une éventuelle mutation du Vieux-Montréal et de son intégration à un nouveau quartier thématique consacré à l’histoire, un quartier au territoire plus vaste. Le présent ouvrage conserve la mémoire de cette rencontre. Neuf communications, regroupées en trois séances, ont permis d’aborder plusieurs facettes du sujet. Elles tracent un bilan des interventions qui ont eu pour cadre le Vieux-Montréal et permettent de voir à quel point cette étiquette a été porteuse. Elles se penchent aussi sur les enjeux et les objectifs des expériences de thématisation de l’espace urbain. Elles alimenteront les réflexions de tous ceux qui s’intéressent à la mise en valeur aussi bien du Vieux-Montréal que de l’histoire de la ville.
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Certains en ont la nostalgie, d’autres la réprouvent, plusieurs ne la connaissent pas. On lui attribue des qualités et des défauts réels ou imaginés. Mais cette école d’antan que, pendant plus d’un siècle, des milliers de Québécoises et de Québécois ont fréquentée témoigne des valeurs d’une société ou plutôt des valeurs qu’une certaine faction du Québec voulait inculquer et ancrer dans le coeurs et l’esprit de tous les enfants.
Ce livre nous amène sur les bancs de l’école d’avant la Révolution tranquille, celle du réseau français catholique mais aussi celle du réseau anglo-protestant. Cent ans d’histoire sont racontés à travers la présentation du patrimoine scolaire du Québec, commes les uniformes portés par les élèves, les images religieuses placées dans leurs cahiers, les médailles utilisées pour les encourager ou encore la fameuse strappe servant à les châtier.
C’est une occasion de découvrir ou de se souvenir de cette école oubliée, mais parfois près des préoccupations actuelles comme la motivation des élèves ou le décrochage scolaire.
Une lecture fascinante, à travers une galerie de photos étonnantes! (Source : Les Presses de l’Université du Québec).

Célèbre pour son flot ininterrompu d’activités, la rue Sainte-Catherine est un pilier de l’histoire de la ville de Montréal. Dans cet ouvrage, découvrez comment elle s’est transformée au cours des années, en parcourant son histoire, de sa naissance jusqu’à nos jours. Appuyé par de nombreuses illustrations en couleurs et par des photographies tirées d’archives, l’auteur nous montre l’impact de cette grande artère sur le développement économique, social et urbain de Montréal. Il nous fait revivre les étapes de son évolution qui ont forgé son caractère et son unicité.
En vente : www.editions-homme.com/ficheProduit.aspx?codeprod=355611
Articles et contributions à des ouvrages collectifs
ROY, Alain, « S’inscrire dans le temps: la vitalité mémorielle et les communautés francophones en milieu minoritaire. Un coup d’œil sur Maillardville (Colombie-Britannique) », dans De l’oral à l’écrit, de l’objet à l’image : expressions de la reconnaissance dans les francophonies nord-américaines dirigé par Jocelyne Mathieu, Québec, Presses de l’Université Laval, 2024, p. 9-36.
BÉRUBÉ, Harold, « The Death of the Golden Square Mile? Understanding the Transformation of an Urban District, 1945-1985 » dans Montreal’s Square Mile: The Making and Transformation of a Colonial Metropole dirigé par Dimitry Anastakis, Elizabeth Kirkland et Don Nerbas, Toronto, University of Toronto Press, 2024, p. 95-116.
PIGELET, Marie, « La recette du bonheur parfait : Les publications culinaires du gouvernement québécois à l’intention des femmes au début du XXe siècle, Food & History, volume 22, no 1, 2024, pp. 181-197.
ROY, Alain, « Note de recherche. Un regard renouvelé sur les monographies dites “de paroisse”, 1834-1938 », Revue d’histoire de l’Amérique française, vol. 77, no 4 (printemps 2024).
ROY, Mathieu, « De Chisasibi à Radisson: aménager et négocier les abords de la Grande Rivière au cours de la Révolution tranquille », dans Jean-Philippe Carlos et Stéphane Savard (dir.), La Révolution tranquille entre l’ici et l’ailleurs, Montréal, Éditions du Septentrion, 2024, p. 83-86.
PETITCLERC, Martin, « Le social et ses droits. Les conventions collectives d’ordre public et l’Organisation internationale du Travail au Québec (1934-1946) », Bulletin d’histoire politique, vol. 31, no 3, hiver 2024, p. 34-55.
PETITCLERC, Martin et Paul-Étienne RAINVILLE, Direction du numéro « Au nom de l’universel: le Québec et les droits humains au XXe siècle », Bulletin d’histoire politique, vol. 31, no 3, hiver 2024, 248p.
BAILLARGEON, Denyse, BOUCHARD, Isabelle et Magda FAHRNI, « Introduction », dans Écrire la ville: Pouvoirs, urbanités et modernités dans l’espace québécois (XIXe-XXe siècles) dirigé par Camille Robert et Daniel Ross, 2023.
FAHRNI, Magda, « Les coûts de la vie : genre, citoyenneté et politique des prix à Montréal dans les années 1940 », dans Écrire la ville: Pouvoirs, urbanités et modernités dans l’espace québécois (XIXe-XXe siècles) dirigé par Camille Robert et Daniel Ross, 2023.
DÉOM, Claudine, « Getting the Message Across Looking Back on Heritage Conservation 20/20: Hindsight and Foresight », dans Evolving Heritage Conservation Practice in the 21st Century. Creativity, Heritage and the City de Christina Cameron (dir.), vol 5. Springer, Singapore., 2023, p. 129-140.
CARLOS, Jean-Philippe, Félix MATHIEU et Stéphane SAVARD, Direction du dossier « Regards intellectuels sur la Révolution tranquille, II », Mens. Revue d’histoire intellectuelle et culturelle, volume 23, numéro 2, printemps 2023.
CHARLEBOIS, Catherine et Annabelle LALIBERTÉ, « Du Centre d’histoire de Montréal au MEM – Centre des mémoires montréalaises. Une cocréation citoyenne », dans Voir autrement. Nouvelles études sur les visiteurs des musées de Mathias Blanc, Jacquelin Edelman et Anik Meunier (dir.), La Documentation française, 2023, 572p.
DROUIN, Martin, « L’invention du Vieux‑Montréal : les représentations d’un quartier historique dans les guides touristiques (19e‑20e siècles) », Revue d’histoire de l’Amérique française, volume 76, numéro 3-4, 2023.
DESMARAIS, Annick, « Recension de l’ouvrage De si longues racines de Micheline Dumont », HistoireEngagée, 2023.
RICHARD, Claudèle, « Cachez ce déchet que je ne saurais voir: la création et la municipalisation d’un service de gestion des ordures dans une ville de Montréal en mutation, 1868-1920 », Urban History Review/Revue d’histoire urbaine, volume 51, numéro 1, 2023, p. 75-116.
ROY, Alain, « De la vitalité à la vitalité mémorielle, ou comment appréhender l’inscription dans le temps des communautés de langue officielle en situation minoritaire (CLOSM) », Minorités linguistiques et société /Linguistic Minorities and Society, numéro 21, 2023, p. 1-20.
FOUGÈRES, Dany, « Le pont Royal-Albert, 1875-1876 : histoire d’une bérézina sur
fond de rivalités ferroviaires », Revue d’histoire de l’Amérique française, volume 75, numéro 3, hiver 2022, p. 3-34.
BRANDL-MOUTON, Véronika, Pierre GAUTHIER, Louise LAINESSE et Alexandre LECLERC, « Bibliographie sur l’histoire de l’Amérique française », Revue d’histoire de l’Amérique française, volume 74, numéro 4, printemps 2021, p. 109-117.
ROBICHAUD, Léon, « Behind the Marronnage project. Balancing Resources, Methodology and Access in an Online Archive », Esclavages & Post-esclavages | Slaveries & Post-Slaveries, numéro 3, novembre 2020, p. 1-33.
CARLOS, Jean-Philippe, « “Ma chicane avec l’impôt” : une critique traditionaliste de l’État-providence canadien, 1945–57 ». Canadian Historical Review, volume 101, numéro 1, mars 2020, p. 76-100.
LINTEAU, Paul-André, « Un Temps Nouveau : Au Coeur d’une transformation ». Canadian Historical Review, volume 101, numéro 1, mars 2020, p. 101-124.
BALLOUD, Simon, « L’expérience de la mobilité dans les journaux de voyage des religieux français en exil au Canada », dans Yves Frenette, Christine Nougaret et Isabelle C. Monnin (dir.). Dans leurs propres mots : la mobilité dans les écrits personnels et les sources orales, XIVe-XXe siècles, Winnipeg, Presses universitaires de Saint-Boniface, 2020, p. 155-176.
TÉLLEZ NIEMEYER, Valeria, « Nuit électrique : atmosphères lumineuses à Montréal au XIXe siècle », RACAR : Revue d’art canadienne / Canadian Art Review, volume 45, numéro 1, 2020, p. 36-48.
FOUGÈRES, Dany, « La mémoire étiolée du parc des Champs-de-Bataille de Québec. Lorsque vainqueurs et vaincus ne forment qu’un ! », dans Catherine Denys (Lille), Jean de Préneuf (Lille/SHD), Gilles Malandain (Poitiers) (dir.), The Battlefield after the Battle, Memories and Uses / le Champ de bataille après la bataille, Mémoires et Usages, Presses universitaires du Septentrion, janvier 2020, p. 235-260.
BÉRUBÉ, Harold, « Les « villages » de Montréal, ou la métropole comme communauté de communautés : réflexions sur l’utilisation de la notion de quartier en histoire urbaine» dans BURGESS, Joanne et Paul-André LINTEAU (dir)., Histoire et patrimoine. Pistes de recherche et de mise en valeur, Québec, Presses de l’Université Laval, coll. « Chaire Fernand-Dumont sur la culture », 2019, 57-76 pp.
BURGESS, Joanne et COMEAU, Michelle, « L’empire du commerce montréalais : acteurs, territoires et patrimoines » dans BURGESS, Joanne et Paul-André LINTEAU (dir)., Histoire et patrimoine. Pistes de recherche et de mise en valeur, Québec, Presses de l’Université Laval, coll. « Chaire Fernand-Dumont sur la culture », 2019, 119-150 pp.
GELLY, Alain, « Connaître et valoriser le patrimoine portuaire de Montréal: un chantier inachevé » dans BURGESS, Joanne et Paul-André LINTEAU (dir)., Histoire et patrimoine. Pistes de recherche et de mise en valeur, Québec, Presses de l’Université Laval, coll. « Chaire Fernand-Dumont sur la culture », 2019, 151-174 pp.
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BÉRUBÉ, Harold et Olivier LEMIEUX, « “Un petit examen de conscience” » : Joseph-Papin Archambault et la reconquête linguistique de Montréal (1912-1922) », Bulletin d’histoire politique, à paraître en avril 2016.
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BONNETT, John, Mark ANDERSON, Wei TANG, Brian FARRIMOND and Léon ROBICHAUD, “StructureMorph: Creating Scholarly 3D Models for a Convergent, Digital Publishing Environment” in Scholarly and Research Communication, vol. 7, issue 2, 2016, 15 p.
BURGESS, Joanne, Cynthia COOPER, Céline WIDMER et Natasha ZWARICH, « Introduction », À la recherche du savoir : nouveaux échanges sur les collections du musée McCord/Collecting Knowledge: New Dialogues on McCord Museum Collections, Montréal, Éditions Multimondes, coll. « Cahiers de l’Institut du patrimoine de l’Université du Québec à Montréal », 2016, p. 1-15.
COUTURE, Philippe et Vincent DUHAIME, « Du local à l’universel : découvrir le patrimoine pour redécouvrir l’histoire du Québec et de l’Occident », Éveil et enracinement, approches pédagogiques innovantes du patrimoine culturel, Montréal, Presses de l’Université du Québec, collection Publics et culture, 2016, p. 119-136.
FOUGÈRES, Dany et Robert GAGNON, « Fortin, Sifroy Joseph », Dictionnaire biographique du Canada, vol. 16, à paraître.
FOUGÈRES, Dany et Robert GAGNON, « Fraser, Alexandre-Romuald », Dictionnaire biographique du Canada, vol. 16, à paraître.
LAROUCHE, Marie-Claude, « L’exploitation du patrimoine urbain de Trois-Rivières, quel potentiel pour la formation à l’enseignement des sciences humaines au primaire? », dans Joanne Burgess, Marie-Claude Larouche et Nicolas Beaudry (dir.) Éveil et enracinement, approches pédagogiques innovantes du patrimoine culturel, Montréal, Presses de l’Université du Québec, collection Publics et culture, 2016, p. 93-115.
LAROUCHE, Marie-Claude et Christophe SURGET, « La culture par l’expérience humaine, dialogue autour d’une pratique originale vouée à l’exploration culturelle », dans Joanne Burgess, Marie-Claude Larouche et Nicolas Beaudry (dir.), Éveil et enracinement, approches pédagogiques innovantes du patrimoine culturel, Montréal, Presses de l’Université du Québec, collection Publics et culture, 2016, p. 49-67.
LAROUCHE, Marie-Claude avec la collaboration de Marie-Christine LOYER, « Using museum resources and mobiles devices for developing teens’ historical thinking: a formative evaluation of an innovative set up », dans Phaedra Levingstone et Viviane Gosselin (dir.), Museums and Historical Consciousness, Vancouver, UBC Press et The History Education Network/Histoire et éducation en réseau, à paraître en 2016.
POYET, Julia, « Identité et patrimoine : les résultats de l’étude préliminaire Ville-Marie 2014 », dans Joanne Burgess, Marie-Claude Larouche et Nicolas Beaudry (dir.), Éveil et enracinement, approches pédagogiques innovantes du patrimoine culturel, Montréal, Presses de l’Université du Québec, collection Publics et culture, 2016, p. 9-28.
ROBICHAUD, Léon, « Apprendre l’histoire, découvrir le milieu, apprivoiser le numérique », dans Joanne Burgess, Marie-Claude Larouche et Nicolas Beaudry (dir.), Éveil et enracinement, approches pédagogiques innovantes du patrimoine culturel, Montréal, Presses de l’Université du Québec, collection Publics et culture, 2016, p. 139-154.
ROBICHAUD, Léon, « Habitants, autorités et délits en Nouvelle-France : les Montréalais et la traite des fourrures », dans John Willis, Mélanges en hommage à Jean-Pierre Chrestien, Les presses de l’Université d’Ottawa, Série des Mercures du Musée canadien de l’histoire, à paraître en 2016.
ROY, Alain, « La réponse à l’incendie du parlement de Montréal en 1849, fondement d’une nouvelle communauté politique canadienne intégrée dans l’Empire britannique », Revue d’histoire de l’Amérique française, vol. 70, no 1-2, été-automne 2016, p. 5-29.
ZWARICH, Natasha et André GAREAU, « Diffuser les archives numériques : faire plus avec moins », Archives, vol. 45, no 1, 2014, p. 158-178.
BINETTE, René et Maria Luisa ROMANO, « La collection écomuséale, de la pratique au concept », dans Yves Bergeron, Daniel Arsenault et Laurence Provencher-Saint-Pierre (dir.), Musées et muséologies : au-delà des frontières. La muséologie nouvelle en question, Québec, Presses de l’Université Laval, 2015, p. 161-176.
CHARBONNEAU, Nathalie, ROBICHAUD, Léon, BURGESS, Joanne, « Using 4D modelling in a university-museum research partnership : The case of the Alphonse Raymond historic factory plant », dans G. Guidi, R. Scopigno, J.C. Torres, H. Graf (dir.), Digital Heritage 2015, Proceedings, Granada, 2015, IEEE, ISBN: 978-1-5090-0047-0.
FOUGÈRES, Dany et Stéphane CASTONGUAY, direction du numéro double « Territoire et environnement », Revue d’histoire de l’Amérique française, vol. 68, nos 3-4, hiver-printemps 2015.
LANOUETTE, Mélanie et Martin PÂQUET, « Le dialogue entre l’historien et le muséologue. L’exemple de l’exposition Partir sur la route des francophones au Musée de l’Amérique francophone », dans Marianne Amar, Yves Frenette, Mélanie Lanouette et Martin Pâquet (dir.), Musées, histoire, migrations, Québec, Presses de l’Université Laval, 2015, p. 65-93.
LAROUCHE, Marie-Claude, Nathalie LACELLE et François GUILLEMETTE, direction du numéro thématique « L’influence de la recherche sur les pratiques pédagogiques et didactiques à l’enseignement supérieur », Revue pour la recherche en éducation, 2015.
POYET, Julia, « Ville-Marie 2014 : bilan d’une année pilote », Vivre le primaire, revue de l’Association québécoise des enseignantes et enseignants du primaire, Québec, vol. 28, no 2, printemps 2015, p. 30 et 31.
ROQUIGNY, Peggy. « Du discours à la pratique: l’étiquette appliquée et négociée dans les soirées dansantes bourgeoises du tournant du siècle», dans Thierry Nootens et Laurent Turcot (dir.), Une histoire de la politesse au Québec, Normes et déviances du XVIIe au XXe siècle, Sillery, Septentrion, 2015, p. 147-166.
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BÉRUBÉ, Harold, « Historiciser la révolution métropolitaine à Montréal : Une perspective suburbaine (1914-1960), dans Léon Robichaud, Harold Bérubé et Donald Fyson (dir.), La gouvernance montréalaise : de la ville-frontière à la métropole, Montréal, Éditions MultiMondes, coll. « Cahiers de l’Institut du patrimoine de l’Université du Québec à Montréal », 2014, p. 135-145.
BÉRUBÉ, Harold, « L’émergence de la question métropolitaine à Montréal : une perspective suburbaine (1914-1960) », dans Léon Robichaud, Harold Bérubé et Donald Fyson (dir.), La gouvernance montréalaise : de la ville-frontière à la métropole, Montréal, Éditions MultiMondes, coll. « Cahiers de l’Institut du patrimoine de l’Université du Québec à Montréal », 2014, p. 103-118.
BÉRUBÉ, Harold, « Regards catholiques sur les villes québécoises : une haine à géométrie variable (1918-1939) », Archives de sciences sociales, vol. 165, janvier-mars 2014, p. 45-60.
BÉRUBÉ, Harold, Léon ROBICHAUD et Donald FYSON, « Introduction – La gouvernance montréalaise : de la ville-frontière à la métropole », dans Léon Robichaud, Harold Bérubé et Donald Fyson (dir.), La gouvernance montréalaise : de la ville-frontière à la métropole, Montréal, Éditions MultiMondes coll. « Cahiers de l’Institut du patrimoine de l’Université du Québec à Montréal », 2014, p. 1-6.
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