Bienvenue aux stagiaires! 

Depuis le début du mois de mai 2023, le Laboratoire est heureux d’accueillir les stagiaires Emma LeBoutillier et Simon Gosselin, étudiants au baccalauréat en histoire à l’UQAM, Mohamed Samir Skakni, étudiant au baccalauréat en histoire à l’UQAM avec concentration en études autochtones, ainsi que Louis-Henri Roberge, étudiant au baccalauréat en histoire et au microprogramme en études autochtones à l’Université de Sherbrooke. 

Les stages de 1er cycle en recherche du Laboratoire visent à susciter un intérêt pour la recherche en histoire et grâce à une expérience concrète au sein d’une équipe en partenariat. Cette année, le programme a bénéficié du soutien financier de la Faculté des sciences humaines de l’UQAM, ce qui a permis au LHPM d’offrir un quatrième stage.

Les 10 et 11 mai, les stagiaires ont été initiés aux systèmes d’information géographique historique (SIG-H) par l’entremise d’une formation prodiguée par Samuel Monat, adjoint à la recherche en systèmes d’information géographique-historique (SIG-H). Les étudiants ont ainsi pu se familiariser avec la plateforme numérique SCHEMA.  

Deux étudiants effectuent leur stage en collaboration avec des organismes partenaires du Laboratoire. Le mandat d’Emma LeBoutillier se déroule ainsi au sein de l’Atelier d’histoire Mercier-Hochelaga-Maisonneuve, où elle prend part au projet d’histoire orale Tirer de l’oubli les histoires délaissées ; pérenniser les mémoires retrouvées. Elle prépare et conduit des entrevues avec des citoyennes du quartier afin de fournir les collections d’archives orales de l’organisme. Pointe-à-Callière, cité d’archéologie et d’histoire de Montréal accueille de son côté Mohamed Samir Skakni qui, sous la supervision de l’archéologue François Gignac, s’affaire à documenter l’incendie du Parlement de Montréal en 1849. 

Pour sa part, Simon Gosselin travaille sur les Acteurs économiques du Vieux-Montréal en compagnie de Joanne Burgess. Il contribue à l’analyse du portrait global du secteur du « dry goods » dans le Vieux-Montréal pour des années témoin et rédige quelques fiches de sociétés qui alimenteront le Répertoire du patrimoine culturel du Québec. Enfin, sous la supervision de Léon Robichaud, Louis-Henri Roberge participe au projet de recherche Montréal en 1725 en récupérant, validant et enrichissant les données cartographiques et attributaires de ce dernier.  

La formation d’une relève en histoire et en patrimoine est au cœur des préoccupations du LHPM. Toute l’équipe souhaite à Emma, Louis-Henri, Simon et Mohamed Samir un séjour stimulant et agréable!